• Il y a des jours
    Où la vie est difficile
    Tu ne vis pas toujours
    Des choses faciles

    Ne baisses pas les bras
    Ne cesses pas d'avancer
    Et surtout souviens toi
    Que quelqu'un sera là pour t'aider

    Petit à petit tu verras
    Tu finiras par y arriver
    Mais surtout ne t'inquiètes pas
    Tu peux compter sur moi

    Ne baisses pas les bras
    Ne cesses pas d'avancer
    Et surtout souviens toi
    Que quelqu'un sera là pour t'aider


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  • As- tu réellement réfléchi avant de prendre ta décision ? Je n'en suis pas sûr. Si tu avais vraiment pensé à ce que tu allais faire tu ne l'aurais probablement pas fait. Ecoutes, je t'en veux, tu le sais, mais tu me manques, et ça je n'y peux rien.  Chaque soir depuis quatre ans je rentre la boule au ventre en me demandant si il y aura un nouveau suicide. C'est arrivé deux fois depuis ta mort. Deux fois, deux fois de trop. Je me demande si les gens qui se suicident pensent aux conséquences, aux blessures énormes qu'ils creusent chez les gens qui restent. Chez ceux qui doivent se battre, chez ceux qui subissent chaque jour un peu plus. Chez ceux qui n'arrivent plus à avancer, qui enchainent les échecs et les chutes. Je me demande lequel de nous deux est le plus égoïste et c'est sans aucuns doutes toi.


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  • A force, tu n'arrives même plus à pleurer. Tant de jours se sont écoulés depuis que tu t'es enfermée, que tu es devenue celle que tu es aujourd'hui. On dirait que t'a oublié que le bonheur existe, on dirait que t'a oublié à quoi rime la vie, et pourquoi faut s'y accrocher. Maintenant, tu passes tes journées enfermée dans ta taverne, à regarder ses photos, ces moments immortalisés que tu regrettes tant. De ce temps où tu pouvais encore éprouver un quelconque sentiment. Du temps où ton sourire pouvait me remonter le moral. Du temps où tu te nourrissais, ou tu riais. Du temps où, ensemble, on faisait des folies. Du temps où tu avais encore la force de te lever le matin.

    Je lui en veux, tu sais. Je lui en veux à ce con qui t'a fait perdre la joie de vivre. Mais il ne faut pas que tu te rabaisses à son niveau. Tu n'es pas faible, non ! Ne perds surtout pas cette chose qui est si précieuse : la confiance en sois. Je t'en prie, reste avec moi. Ne perds pas espoir, tu y arriveras. Un jour tu cesseras de te dire que c'est de ta faute s'il s'est suicidé, que de toute façon la vie ne compte plus à tes yeux.

    Faut que tu arrêtes. Il t'a fait du mal. Je m'inquiète pour toi, j'ai peur que tu fasses une bêtise. J'ai peur que tu ne comprennes pas qu'il ne reviendra pas, qu'il est mort, que c'est fini. Je comprends, avant les jours étaient beaux, longs et joyeux. Mais maintenant, maintenant qu'il est parti j'ai l'impression que tu vois la vie en noir et blanc. Mais il faut que tu retrouves la joie, la joie de vivre. La force, surtout. Je t'en prie. Ne baisse pas les bras. Je t'en prie, n'abandonne pas. Je t'en prie, garde ta joie. Je t'en prie, ne te suicides pas.


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